¡Envío gratis y en 1 día!* a Península + 5% dcto  ¡Ver más!

menú

0
  • argentina
  • chile
  • colombia
  • españa
  • méxico
  • perú
  • estados unidos
  • internacional
portada La Coucaratcha, Tome III (en Francés)
Formato
Libro Físico
Idioma
Francés
N° páginas
160
Encuadernación
Tapa Blanda
Dimensiones
22.9 x 15.2 x 0.9 cm
Peso
0.24 kg.
ISBN13
9781519741981

La Coucaratcha, Tome III (en Francés)

Eugène Sue (Autor) · Createspace Independent Publishing Platform · Tapa Blanda

La Coucaratcha, Tome III (en Francés) - Ballin, G-Ph ; Sue, Eugene

Libro Nuevo

20,78 €

21,88 €

Ahorras: 1,09 €

5% descuento
  • Estado: Nuevo
  • Quedan 75 unidades
Origen: Estados Unidos (Costos de importación incluídos en el precio)
Se enviará desde nuestra bodega entre el Martes 16 de Julio y el Martes 30 de Julio.
Lo recibirás en cualquier lugar de España entre 1 y 5 días hábiles luego del envío.

Reseña del libro "La Coucaratcha, Tome III (en Francés)"

Marie-Joseph Sue dit Eugène Sue, né le 26 janvier 1804 à Paris et mort en exil le 3 août 1857 à Annecy-le-Vieux (Duché de Savoie), est un écrivain français. Il est principalement connu pour deux de ses romans-feuilletons à caractère social: Les Mystères de Paris (1842-1843) et Le Juif errant (1844-1845). Extrait: CHAPITRE V. Environ six mois après que ceci eût été écrit par M. de Noirville, Cécile adressait la lettre suivante à la baronne Sarah d'Herlmann, à Dresde. Noirville, 20 juin 18... J'ai bien tardé à vous répondre, Sarah; mais ma santé est si mauvaise, je suis si faible, que, malgré tout mon désir, aujourd'hui seulement j'ai eu physiquement la force d'écrire: car pour penser à vous, je ne fais autre chose quand je ne lis pas vos lettres si affectueuses, quoiqu'un peu sévères à l'égard de ce que vous appelez mes folies... Oui, mon amie, j'ai relu avec un bien triste plaisir, cette dernière lettre où vous me rappelez notre séjour à Naples! c'était un beau temps alors: quel bonheur profond j'éprouvais en voyant une douce intimité s'établir entre nos deux familles, mon père apprécier le grand caractère de votre mère, et votre mère trouver dans le coeur de la mienne un écho pour chacune de ses nobles et pieuses pensées. Et puis comme dès la première fois que nous nous sommes vues, nous nous sommes comprises; je me le rappelle bien; c'était après une promenade dans le Golfe: nous sommes tous revenus à l'ambassade; alors je vous ai emmenée chez moi, et là je vous ai montré mes trésors: mes livres, ma musique, mes dessins commencés; mais, vous rappelez-vous surtout, Sarah, cette singulière circonstance? Un volume de Lamartine était resté ouvert sur ma table, et voilà que vous me montrez que vous aviez emporté le même ouvrage dans votre promenade! Mais ce n'est pas tout: quel est notre ravissement quand nous nous apercevons, au signet de votre livre, qu'ainsi que moi, la dernière méditation que vous aviez lue était aussi la prière! Vous souvenez-vous combien cette découverte nous étonna délicieusement, et quels heureux présages nous y cherchâmes pour l'avenir? car l'amitié, comme tous les sentiments tendres et délicats, semble vouloir se rassurer contre l'avenir par les présages, comme si le hasard prouvait quelque chose contre l'avenir! Vous le voyez bien, alors notre jeune imagination n'était pas assez riche, assez fertile, assez vive pour suffire aux plans de bonheur que nous formions. Que de brillants songes nous avions improvisés! Mais aussi quelque loin que nous emportassent ces rêves capricieux et dorés, nos idées venaient toujours se rallier à l'existence de notre père et de notre mère: nous faisions comme ces jeunes oiseaux qui essaient leurs ailes naissantes au milieu des feuilles et des fleurs, mais sans jamais quitter du regard le nid paternel. Eugène Sue: Jeunesse Son père, Jean-Joseph Sue (1760-1830), (fils), était chevalier héréditaire par lettres patentes du 17 février 1815 (issu d'une lignée de chirurgiens parisiens originaire de Provence). Après avoir été chirurgien de la Garde impériale de Napoléon 1er, puis médecin chef de la maison militaire du roi, il était professeur d'anatomie et médecin consultant du roi lui-même. La marraine d'Eugène n'était autre que Joséphine[2] et son parrain Eugène de Beauharnais. Eugène étudie au lycée Condorcet. Il se révèle être un élève médiocre et turbulent, puis un jeune homme dont les frasques défraient la chronique. En 1821, il abandonne le lycée en classe de rhétorique et grâce à son père est admis sans difficulté comme stagiaire à la Maison militaire du roi. Après deux ans d'apprentissage il est affecté en 1823 aux hôpitaux de la 11e division militaire de Bayonne. La même année, il soigne les blessés de la prise de Trocadéro. Il s'ensuit une occupation du territoire espagnol et son affectation à l'hô

Opiniones del libro

Ver más opiniones de clientes
  • 0% (0)
  • 0% (0)
  • 0% (0)
  • 0% (0)
  • 0% (0)

Preguntas frecuentes sobre el libro

Todos los libros de nuestro catálogo son Originales.
El libro está escrito en Francés.
La encuadernación de esta edición es Tapa Blanda.

Preguntas y respuestas sobre el libro

¿Tienes una pregunta sobre el libro? Inicia sesión para poder agregar tu propia pregunta.

Opiniones sobre Buscalibre

Ver más opiniones de clientes